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Étudier à l’étranger sans Erasmus : les autres chemins possibles



Quand on pense « études à l’étranger », le programme Erasmus+ vient immédiatement en tête. Populaire, bien encadré, financé… Il représente une belle opportunité. Mais ce n’est pas le seul moyen d’aller découvrir le monde pendant ses études. De plus en plus d’étudiants français choisissent de partir sans Erasmus, que ce soit dans un cadre universitaire classique, via des programmes alternatifs ou même hors du système académique.


Dans cet article, on explore les autres options pour partir à l’étranger, que ce soit dans le cadre d’un diplôme, d’un échange ou d’une démarche individuelle.

 

1. S'inscrire en solo aux universités à l'étranger


Pourquoi c’est plus facile qu’on ne le pense


L’idée d’envoyer une candidature directement à une université étrangère peut sembler intimidante. Pourtant, ce type de démarche est aujourd’hui très accessible, même sans passer par un programme d’échange. On vous explique pourquoi :

 

  • De plus en plus d’universités accueillent des étudiants internationaux hors programme.

  • Les candidatures sont dématérialisées, les démarches simplifiées.

  • Il existe des services de candidature centralisés, équivalents à Parcoursup.

  • Les établissements proposent des parcours en anglais, même dans des pays non anglophones.

  • De nombreuses universités offrent des bourses spécifiques aux étudiants étrangers.

  • L’étudiant est libre de choisir son université, sa ville, son pays, sans dépendre d’un partenariat entre établissements.


En revanche, il faut être prêt à gérer soi-même toutes les démarches : candidature, logement, visa, assurance, équivalences, etc.

 

Les portails similaires à Parcoursup à l’étranger


De nombreux pays ont mis en place des plateformes centralisées pour simplifier les candidatures dans l’enseignement supérieur, à l’image de Parcoursup en France. Ces portails permettent de postuler à plusieurs universités en une seule démarche, avec des procédures standardisées et accessibles aux étudiants internationaux.


Voici quelques exemples parmi les plus utilisés :

 

Portail

Pays

Fonctionnement

UCAS

Royaume-Uni

Plateforme centralisée pour les candidatures en licence. Permet de postuler à 5 formations différentes. Suivi rigoureux avec un calendrier strict.

Common App

États-Unis

Utilisée par plus de 900 universités. Centralise les candidatures, lettres de motivation, lettres de recommandation et relevés de notes.

UniAssist

Allemagne

Guichet unique pour de nombreuses universités publiques. Vérifie la conformité des dossiers étrangers avec les exigences académiques allemandes.

Studielink

Pays-Bas

Portail national pour toutes les formations supérieures. Accessible aux universités de recherche et de sciences appliquées.

Apply Alberta / OUAC

Canada (Alberta & Ontario)

Plateformes provinciales pour postuler aux universités locales. Interface unifiée pour suivre et gérer ses candidatures.

 

Chaque pays a ses spécificités, mais tous ces systèmes partagent un même objectif : offrir un accès structuré et transparent aux étudiants internationaux. Ils permettent de centraliser les démarches, d’éviter les erreurs, et de respecter les délais d’inscription imposés par les universités.

 

Quand partir étudier à l'étranger ?


Partir à l’étranger en dehors d’un programme comme Erasmus est possible à différents moments du parcours universitaire. Tout dépend de votre projet, de votre niveau d’études, et du pays visé.


Après le bac : De nombreux étudiants choisissent de débuter directement leur cursus à l’étranger, notamment pour une licence complète. C’est une option courante au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, au Canada ou dans certains pays nordiques. Elle permet de s’immerger dès le départ dans un système universitaire international.

Retrouvez tous nos conseils pour partir étudier à l'étranger après le Bac.

 

Après un bac+2 ou bac+3 : Il est possible d’intégrer une dernière année de licence (équivalent du Bachelor) ou de postuler en master. Cette formule permet de compléter sa formation tout en valorisant une première partie du parcours suivie en France.

Retrouvez tous nos conseils pour partir étudier à l'étranger après le Bac +3.

 

Après un master : Les étudiants qui souhaitent se spécialiser davantage ou entamer un doctorat peuvent également se tourner vers des universités étrangères, souvent bien dotées en laboratoires de recherche et en bourses pour les doctorants internationaux.

Retrouvez tous nos conseils pour partir étudier à l'étranger après un Master.

 

Choisir de partir seul, en dehors d’un programme d’échange, implique généralement de suivre un cursus complet à l’étranger, et non un simple semestre.

 

Cela demande plus de préparation : il faut respecter les calendriers universitaires locaux, parfois très différents du système français, anticiper les dates de candidature, préparer les tests de langue requis (comme l’IELTS, le TOEFL ou le Duolingo English Test), et s’assurer que le diplôme obtenu sera bien reconnu par les établissements ou employeurs français si vous revenez ensuite.


Cette démarche demande de l’autonomie, mais elle offre aussi plus de liberté dans le choix du pays, de la formation et du rythme d’études.

L'accompagnement Study Experience pour des filières spécifiques
L'accompagnement Study Experience pour des filières spécifiques

Study Experience est une agence spécialisée dans l'accompagnement des étudiants pour partir étudier à l'étranger. Vous souhaitez rejoindre une formation spécifique à l'international pour poursuivre une vocation ? Ils seront à même de vous conseiller de A à Z pendant la totalité de votre projet.

Pour plus d'informations, n'hésitez pas à les contacter !

2. Les échanges universitaires au sein des écoles françaises


 

les autres solutions a erasmus


Même sans passer par le programme Erasmus, de nombreux établissements d’enseignement supérieur en France ont développé leurs propres réseaux de partenariats internationaux.

 

Grâce à ces accords bilatéraux, de plus en plus d’étudiants partent à l’étranger pour un semestre, une année ou un double diplôme, tout en restant inscrits dans leur école ou université d’origine.

 

Écoles de commerce : des échanges intégrés au cursus


Les écoles de commerce françaises sont particulièrement actives sur le plan international. La majorité intègrent dans leur programme un ou plusieurs semestres à l’étranger, souvent obligatoires, dans le cadre de partenariats avec des universités partout dans le monde.


Parmi les destinations fréquentes : les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Chine, Singapour, ou encore les pays nordiques.


Quelques exemples :


HEC, ESCP, EDHEC, NEOMA, KEDGE, SKEMA : des dizaines d’accords bilatéraux avec des universités prestigieuses. L'ESSEC propose un double diplôme avec l’université de Mannheim (Allemagne), ou encore avec des établissements à Singapour et aux États-Unis.


Ces échanges sont généralement sélectifs : l’admission se fait sur dossier, parfois via un classement interne. L’étudiant reste toutefois administrativement rattaché à son école française, ce qui lui permet de payer les frais de scolarité en France tout en étudiant à l’étranger.

 

Écoles d’ingénieurs : mobilité structurée et encouragée


Les écoles d’ingénieurs françaises ont aussi largement intégré la mobilité internationale dans leur pédagogie. Elle peut prendre plusieurs formes :

 

  • Un semestre académique dans une université partenaire,
  • Un stage de recherche ou en entreprise à l’étranger,
  • Ou un double diplôme (souvent sur deux ans), délivré à la fois par l’école française et l’établissement d’accueil.


Des écoles comme les INSA, Centrale, Arts et Métiers, Polytech, Mines, ou UTC disposent de réseaux d’échanges solides, en Europe, Amérique du Nord, Asie ou Océanie.


Dans beaucoup de ces écoles, une expérience à l’étranger est obligatoire pour valider son diplôme.

 

Universités françaises : des accords au-delà d’Erasmus


Les universités françaises participent elles aussi activement à la mobilité internationale hors Erasmus. De nombreuses facultés ont noué des accords bilatéraux avec des universités situées en dehors de l’Union européenne, notamment au Canada, au Japon, en Corée du Sud, au Brésil ou encore au Maroc.


Exemple : l’université Paris-Saclay a signé des partenariats avec plusieurs universités canadiennes, permettant à des étudiants de partir suivre des cours pendant un ou deux semestres.

Les avantages de ces échanges "hors Erasmus" :

 

  • L’étudiant reste encadré par son université française : il bénéficie d’un suivi administratif et pédagogique.

  • Il paye les frais de scolarité en France, et non dans l’université étrangère (souvent plus élevés).

  • Il peut avoir accès à certaines bourses de mobilité hors Europe, comme l’aide à la mobilité internationale (AMI) ou les programmes Erasmus+ hors UE.

 

3. Passer par une agence de placement universitaire : un accompagnement efficace pour partir à l’étranger


Quand on envisage de partir étudier à l’étranger sans passer par Erasmus, il peut être difficile de savoir par où commencer.

 

À quelle université postuler ? Quelles sont les démarches à suivre ? Comment s’assurer que le diplôme sera reconnu ? Pour ceux qui ne veulent pas naviguer seuls dans cet océan administratif, faire appel à une agence de placement universitaire peut être une solution pertinente.

 

Qu’est-ce qu’une agence de placement universitaire ?


Il s’agit de structures spécialisées dans l’accompagnement des étudiants souhaitant étudier à l’étranger. Ces agences, parfois appelées « agences d’orientation » ou « conseillers en mobilité internationale », travaillent en partenariat avec des universités du monde entier.


Leur rôle est d’aider les étudiants à :

 

  • Choisir un pays et un programme adapté à leur profil,

  • Monter un dossier de candidature solide,

  • Gérer les démarches d’inscription,

  • Préparer les aspects logistiques : visa, logement, assurance, etc.


Certaines agences sont gratuites pour l’étudiant, car elles sont financées par les universités partenaires. D’autres facturent des frais de service, notamment pour les dossiers plus complexes.

L'accompagnement Study Experience pour des filières spécifiques
L'accompagnement Study Experience pour des filières spécifiques

Study Experience est une agence spécialisée dans l'accompagnement des étudiants pour partir étudier à l'étranger. Vous souhaitez rejoindre une formation spécifique à l'international pour poursuivre une vocation ? Ils seront à même de vous conseiller de A à Z pendant la totalité de votre projet.

Pour plus d'informations, n'hésitez pas à les contacter !

Passer par une agence permet de gagner du temps, de l’énergie, et d’éviter les erreurs de parcours. Parmi les avantages principaux :

 

  • Un accompagnement personnalisé : orientation selon votre niveau, vos envies, votre budget.

  • Un gain de temps sur la paperasse : les agences connaissent les procédures par pays et peuvent vous guider étape par étape.

  • Des partenariats solides : certaines agences travaillent avec des universités qui réservent des places aux étudiants qu’elles recommandent.

  • Un suivi jusqu’au départ (voire après) : visa, logement, assurance, tout peut être géré ou au moins encadré.

  • Un filet de sécurité : en cas de problème (refus, retard, changement de plan), vous n’êtes pas seul et des solutions peuvent potentiellement être trouvées.

 

À qui s’adresse ce service ?


Ce type de service est idéal pour :

 

  • Les lycéens qui souhaitent faire leurs études supérieures à l’étranger.

  • Les étudiants en réorientation ou en césure.

  • Ceux qui veulent postuler dans des pays avec des démarches complexes (Royaume-Uni, Canada, États-Unis, Australie...).

  • Les étudiants qui ne passent pas par une école ou une université proposant des échanges.

 

4. Les autres programmes d’échange hors Erasmus


 

Erasmus est loin d’être le seul programme d’échange existant. Il en existe d'autres, souvent moins connus mais tout aussi efficaces. On fait le tour des possibilités avec vous :

Les accords bilatéraux


En dehors d’Erasmus, de nombreuses universités françaises ont signé des accords directs avec des établissements hors Europe. Ces partenariats permettent aux étudiants de partir en échange dans des pays comme le Canada, le Japon, l’Australie, le Brésil, la Corée du Sud ou encore les États-Unis.

 

Ces programmes fonctionnent sur le même principe qu’un échange classique :

 

  1. L’étudiant part pour un semestre ou une année dans l’université partenaire.
  2. Il reste inscrit administrativement dans son établissement français, ce qui signifie qu’il ne paie pas les frais de scolarité de l’université d’accueil (souvent élevés).
  3. Les cours validés à l’étranger sont reconnus dans le cursus français, sous réserve d’accords pédagogiques.

 

Un dispositif avantageux mais exigeant


Ce type d’échange est particulièrement intéressant pour ceux qui souhaitent vivre une expérience académique hors Europe sans avoir à financer eux-mêmes des frais de scolarité parfois très coûteux. En revanche, il demande une préparation rigoureuse :

 

  • Anticiper les démarches un an à l’avance.

  • Préparer un bon dossier (résultats solides, projet motivé).

  • Avoir un niveau de langue suffisant.

  • Comprendre le fonctionnement universitaire local.

  • Enfin, le nombre de places étant souvent limité, la sélection est compétitive. Il est essentiel de bien se renseigner sur les critères d’éligibilité, les calendriers et les conditions spécifiques à chaque destination.

 

Si Erasmus est le programme le plus connu, il existe d'autres dispositifs internationaux qui permettent aux étudiants de partir à l’étranger dans un cadre académique, avec ou sans financement. Ces programmes sont souvent pilotés par des gouvernements, des institutions ou des réseaux universitaires.

Les programmes gouvernementaux


Plusieurs pays ont mis en place des bourses et programmes officiels pour attirer des étudiants internationaux, parfois très compétitifs, mais aussi très bien dotés.


Bourses Fulbright (États-Unis) : réservées aux étudiants étrangers souhaitant effectuer un master ou un doctorat dans une université américaine. La sélection est rigoureuse, mais les aides sont généreuses (frais de scolarité, billets d’avion, logement, assurance...).

 

DAAD (Allemagne) : le Service allemand d’échanges universitaires propose un large éventail de bourses de mobilité pour les étudiants, doctorants et chercheurs. Les programmes sont bien structurés et couvrent une grande diversité de disciplines.

 

Bourses du gouvernement canadien :

 

  • Vanier Canada Graduate Scholarships : pour des doctorats dans des universités canadiennes.
  • Mitacs Globalink : pour des stages de recherche au Canada, ouverts aux étudiants internationaux de niveau licence ou master.


Campus France / Bourses Eiffel : même si elles s’adressent à des étudiants étrangers venant étudier en France, certaines bourses comme Eiffel ou les programmes d’échange bilatéral peuvent inclure des partenariats croisés avec d’autres pays.

 

Ces bourses sont très encadrées, avec des calendriers spécifiques et des critères précis. Il est essentiel de bien se renseigner plusieurs mois à l’avance, souvent dès le début de l’année universitaire.

 

Les programmes institutionnels


En dehors des programmes gouvernementaux, certaines structures universitaires internationales proposent également des dispositifs d’échange accessibles aux étudiants français.


ISEP (International Student Exchange Program) : un réseau de plus de 300 universités dans une cinquantaine de pays. Il fonctionne sur la base d’un système d’échange équilibré : l’université d’origine accueille un étudiant pendant qu’un autre est envoyé à l’étranger. L'étudiant paie ses frais de scolarité à son établissement d’origine, ce qui permet de limiter les coûts.

 

Bilateral Exchange Programs : certaines grandes universités françaises ou internationales ont développé leurs propres programmes d’échanges bilatéraux en dehors des réseaux classiques. Ces accords permettent d’effectuer un ou deux semestres dans une université partenaire, en maintenant son inscription administrative en France.

 

Ces programmes sont souvent moins visibles qu’Erasmus, mais ils peuvent ouvrir des destinations très attractives (États-Unis, Japon, Australie...) avec des conditions parfois plus souples, à condition d’en connaître l’existence et de respecter les délais.

 

5. Partir en dehors d’un cursus académique à l'étranger


 

les challenges de l inscription solo

 

Il est tout à fait possible de partir à l’étranger sans être inscrit dans une formation universitaire. Ce type de mobilité, plus souple et souvent moins encadré, peut être une excellente option pour ceux qui ne souhaitent pas avoir un engagement sur le long terme.

 

Deux formules principales sont accessibles dans ce cadre : les séjours linguistiques et les années de préparation universitaire (foundation years).

 

Les séjours linguistiques à l'étranger


Un séjour linguistique permet de progresser rapidement dans une langue étrangère tout en vivant une expérience à l’international. Il s’agit d’un format très flexible, adapté à tous les niveaux, et ouvert toute l’année.


Plusieurs formules existent :


Cours intensifs : entre 20 et 30 heures par semaine, en petits groupes, souvent centrés sur la pratique orale.
Immersion en famille d’accueil : vivre au quotidien avec des locuteurs natifs permet une progression rapide et naturelle.


Formule mixte cours + job : certains pays (comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou le Canada) permettent de travailler quelques heures par semaine en parallèle des cours, grâce à un visa spécifique.


Ces séjours sont généralement organisés par des organismes spécialisés (comme EF, ESL, Kaplan, Education First, etc.) qui prennent en charge l’inscription, le logement et parfois les démarches administratives.

Voyage-Langue : général

Partenaire de Étudions à l'étranger, Voyage-Langue est une agence spécialisée dans les séjours linguistiques à l'étranger sur plus de 20 destinations et proposent des formations à des tarifs compétitifs au sein d'écoles de langue accréditées et sélectionnées par leurs soins. 

 

Vous souhaitez en savoir plus sur leurs offres ? Parcourez leur site ou contactez un conseiller !

La préparation universitaire (Foundation Year)


Dans plusieurs pays, notamment anglophones, il est possible d’intégrer une année préparatoire avant l’entrée dans un cursus universitaire. Ce qu’on appelle communément une "foundation year" ou un "international foundation programme".


Ce type de programme s’adresse :

 

  • Aux étudiants qui n’ont pas encore le niveau académique requis pour entrer directement à l’université.

  • À ceux qui doivent encore atteindre un certain niveau en langue.

  • À ceux qui souhaitent se familiariser avec le système éducatif local, souvent très différent du modèle français.

 

Ils permettent aux étudiants d'effectuer une meilleure transition vers des études en anglais ou dans une autre langue, de réduire le risque d’échec en première année ainsi que de bénéficier d'un accompagnement renforcé pour les étudiants étrangers.


Exemples de pays proposant ce type de parcours :

 

  • Royaume-Uni : très courant, en lien direct avec l’université d’accueil.

  • Pays-Bas : plusieurs établissements proposent des "pathway programmes".

  • Australie et Nouvelle-Zélande : foundation years intégrées aux grandes universités.

  • États-Unis : certaines universités proposent un "Freshman Year" adapté aux étudiants internationaux.


Ces programmes incluent généralement :

 

  • Des cours de langue (anglais académique, prise de notes, expression écrite).

  • Des matières préparatoires liées à la filière visée (économie, sciences, sciences humaines, etc.).

  • Des modules de méthodologie et d’intégration universitaire.



En résumé, les séjours linguistiques et les préparations universitaires sont deux options solides pour les étudiants qui souhaitent partir à l’étranger hors cursus formel, tout en posant les bases d’un projet universitaire ou professionnel futur.

 

6. Les challenges liés au départ sans programme Erasmus



Partir à l’étranger sans passer par Erasmus, c’est faire le choix de la flexibilité et de l’autonomie. Mais cette liberté implique aussi un engagement plus fort de la part de l’étudiant, notamment en matière de préparation, de gestion administrative et de budget.

 

Voici les principaux obstacles à anticiper avant de se lancer.

 

Les équivalences de diplômes : un point clé à ne pas négliger


C’est l’un des principaux risques d’un départ en solo : étudier dans une université étrangère qui ne délivre pas un diplôme reconnu dans votre pays d’origine.
Avant de vous inscrire dans un établissement à l’étranger, assurez-vous de :

 

  • Vérifier que le diplôme est officiellement reconnu par le ministère de l’enseignement supérieur du pays d’accueil.
  • Vous renseigner sur les possibilités de reconnaissance du diplôme en France, si vous souhaitez y poursuivre vos études ou y travailler.


Connaître les dispositifs d’évaluation et d’équivalence :


ENIC-NARIC : le réseau européen qui fournit des attestations de reconnaissance pour les diplômes étrangers.


Crédits ECTS (dans le cas de formations européennes) : ils facilitent la lecture et la comparaison des cursus dans l’espace européen.
Sans cette vigilance, vous courez le risque d’obtenir un diplôme difficile à faire reconnaître, ou qui ne vous permettra pas de vous inscrire dans un master en France, voire d'accéder à certaines professions.

 

Un coût potentiellement plus élevé


L’un des grands avantages d’Erasmus, ce sont les aides financières qui accompagnent la mobilité : bourse Erasmus+, maintien des frais de scolarité en France, accompagnement logement, etc.


Hors Erasmus, tout est à votre charge, et cela peut rapidement représenter une dépense importante.


Quelques coûts typiques à anticiper :

Dépense

Montant estimé (variable selon pays)

Frais de scolarité

- Pays-Bas : ~2 314 €/an

- Royaume-Uni : 11 000 à 25 000 €/an

- Canada/USA : jusqu’à 40 000 €/an

Assurance santé

300 à 800 € / an selon le pays et la couverture choisie

Demande de visa

70 à 500 € selon le pays

Billets d’avion

100 à 1 000 € (selon destination et saison)

Logement

400 à 1 200 € / mois

Dépenses quotidiennes

500 à 1 000 € / mois (alimentation, transport, loisirs)

 

En l’absence de bourse automatique comme celle d’Erasmus+, il faudra :

  • Rechercher des aides spécifiques (bourses d’excellence, aides régionales, fonds de mobilité).
  • Prévoir un budget complet dès la phase de candidature, pour éviter les mauvaises surprises.

 

En conclusion : partir sans Erasmus, un pari possible (et souvent payant)



Étudier à l’étranger sans Erasmus, ce n’est pas partir dans l’inconnu, c’est choisir un autre chemin, souvent plus libre, plus ambitieux, mais aussi plus exigeant.


Pour certains, c’est une chance de s’inscrire dans l’université de leur choix, dans le pays qui les attire, sans dépendre d’un partenariat. Pour d’autres, c’est un moyen de vivre une expérience plus longue, plus complète, ou de préparer une future carrière à l’international.


Mais cette liberté implique une bonne dose de préparation, de rigueur, et parfois de débrouillardise. Alors, Erasmus ou pas, le plus important est d’oser partir — et de bien s’y préparer !

Coût d'un programme Master à l'étrangerLe coût d'un programme Master à l'étranger

Les frais d'inscription pour chaque pays peuvent varier entre quelques centaines d'euros à plusieurs dizaines de milliers d'euros par an ! Il est donc indispensable de bien choisir sa destination.

Partir étudier à l'étranger après un master :


 

Étudier à l'étranger après un niveau master ou bac +5 Pour tout ceux qui souhaitent continuer sur des études très longues, ou tout simplement avoir un apport international sur leur cursus, étudier à l'étranger après un master est une solution plus qu'envisageable. Si les bénéfices de cette expérience n'auront un impact que sur votre carrière professionnelle et qu'un départ plus tôt aurait été plus bénéfique, partir pour une thèse ou une année de spécialisation a de nombreux avantages.

 

Premièrement, l'enseignement est encore plus précis qu'auparavant, ce qui signifie qu'au niveau internationnal, les matières enseignées sont quasiment toutes les mêmes dans un diplôme de spécialisation. L'équivalence une fois retourné en France n'en sera que facilitée. Mais le principal avantage lorsque le départ se fait après le master, c'est les trés nombreuses bourses disponibles pour les étudiants étrangers.

 

En effet, les étudiants de niveau bac + 5 ou supérieur étant considérés comme les "cerveaux" du monde, les pays souhaitent faire un maximum pour attirer les meilleurs et les garder au sein de leur instititution, afin bien évidemment de favoriser le développement de la recherche dans leur pays.

 

  • Les avantages et inconvénients à étudier à l'étranger avec un niveau Master
  • Étudier en Italie après le bac


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Des informations supplémentaires sont disponibles sur la page " Études de niveau master" de notre partenaire E-orientations.

 

http://www.e-orientations.com/etudes/master

Study ExperiencePartir avec une agence de placement universitaire

Les agences de placement universitaire sont des spécialistes des projets d'études à l'étranger et vous accompagnent tout le long de vos démarches tout en vous proposant des universités partenaires.


Quel pays choisir pour étudier à l'étranger après un Bac +3 ?



Grâce à la reconnaissance de votre diplôme, la très grande majorité des pays peut vous accueillir suite à votre Licence. A vous de choisir votre destination en fonction de vos envies, de vos attentes mais aussi de vos possiblités !

Vous pouvez accéder aux pages dédiées aux études post-Licence de chaque pays.

Les avantages à partir étudier à l'étranger après le bac :


 

Étudier à l'étranger après le bacPartir étudier à l'étranger après le bac présente de nombreux avantages :

 

La possibilité de poursuivre un cursus entier à l'étranger et de revenir réellement bilingue. Passer trois ans en Bachelor vous permettra de connaître toutes les spécificités de l'anglais par exemple et de vous intégrer dans la culture du pays.

 

S'intégrer dans des groupes étrangers. En effet, vous avez moins de chances d'être tenté de rester avec des français, vu qu'il risque d'y en avoir très peu à ce niveau d'études.

 

Parler parfaitement une autre langue afin de poursuivre vos études.  Si vous revenez en France à bac +3, ou +2, vous pourrez mettre en avant le fait que vous parlez plusieurs langues et que vous êtes partis de votre propre initiative à l'étranger. Non seulement, vous aurez une compétence particulière que 80% des étudiants français n'ont pas, mais cela montre aussi que vous avez une certaine maturité et que vous allez au bout de vos ambitions !

 

Les Inconvénients à partir étudier à l'étranger après le bac :


 

Partir étudier à l'étranger après le bac présente aussi des inconvénients :

 

Difficile de rester seulement une année, les équivalences avec les universités françaLe double diplomeises et les grandes écoles se faisant souvent à bac +2 ou bac + 3. Cependant, cela tend à être de moins en moins pénalisant grâce à la réforme LMD et ses crédits.

 

Une grande maturité est nécessaire pour pouvoir assumer la plupart des évenements seuls, ce que tout les étudiants n'ont pas en sortant du bac.

 

Pas de partenariats possibles avec une université française, et donc pas de double-diplôme logiquement. A nouveau, la réforme LMD atténue le problème, et la plupart des diplômes d'Europe et d'Amérique sont reconnus sans problèmes.

 

Pas d'aides possibles hormis les bourses du CROUS. Il faut donc avoir les moyens de partir

 

 

 

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